Pour gabriel attal, être français en 2024, "c'est pouvoir être premier ministre en assumant son homosexualité"

Pour gabriel attal, être français en 2024, "c'est pouvoir être premier ministre en assumant son homosexualité"

Play all audios:

Loading...

Le Premier ministre a conclu son discours de politique générale par une anaphore mentionnant la "fierté" d'"être Français en 2024". Il a notamment évoqué sa propre


homosexualité. "Notre pays bouge." Lors de son discours de politique générale, le Premier ministre Gabriel Attal a évoqué ce mardi 30 janvier son homosexualité. > "Être 


Français en 2024, c’est – dans un pays qui, il y a 10 > ans seulement, se déchirait autour du mariage pour tous – pouvoir > être Premier ministre en assumant ouvertement son 


homosexualité", > a-t-il lancé au terme d'une anaphore. Cette dernière avait été commencée par le fait qu'"être Français en 2024, c'est une fierté".


"Notre société est plus ouverte, plus audacieuse, plus pionnière que l’image que nous nous renvoyons parfois à nous-mêmes", a déclaré Gabriel Attal. UN SUJET DEVENU MÉDIATIQUE


L'ancien ministre de l'Éducation nationale a poursuivi: "Être Français en 2024, c’est vivre dans un pays qui n’a pas renoncé au progrès social, à protéger les droits de tous


et surtout de toutes, et à en conquérir de nouveaux." Que doit-on retenir du discours de politique générale de Gabriel Attal? Ce n'est pas la première fois que le plus jeune


Premier ministre parle publiquement de son homosexualité. Il l'avait mentionnée une première fois en 2019 dans Libération. Il était alors revenu sur _Crépuscule,_ un livre de Juan


Branco. Cet avocat est un ancien camarade d'école de Gabriel Attal. Dans l'ouvrage, celui qui a fréquenté L'ÉCOLE ALSACIENNE AU MÊME MOMENT QUE LUI, écrivait sur


l'homosexualité du ministre, avant même que le principal intéressé n'en parle. "Je n'en avais jamais parlé publiquement, je n'avais pas non plus l'intention de


le cacher mais je souhaitais en parler au moment où je le voulais, de la manière où je le voulais (...) Il y avait une forme d'incursion dans mon intimité" lors de la publication


de ce livre, avait regretté Gabriel Attal en novembre sur TF1. Théo Putavy