Video. "made in france" contre "made in germany" : redex choisit les deux

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Cet article date de plus d'onze ans. Publié le 08/04/2014 03:00 Temps de lecture : 1min - vidéo : 3min 3min Comment Redex, une PME familiale du Loiret, a su muscler son jeu


international en rachetant une entreprise outre-Rhin. Ou quand le "made in Germany" s'allie au "made in France"...  lire plus tard Pour sauvegarder cet article,


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de présentation précédent suivant Redex, dans le Loiret, fabrique des pièces pour les chaînes de montage dans l’industrie automobile et aéronautique. Cette PME familiale exporte dans le


monde entier, mais la compétition internationale est de plus en plus rude. Pour Bruno Granddjean, son Pdg, _"le handicap français, ce sont nos coûts, le made-in-France pas assez


porteur, l’image française qui n’est pas bonne…"_ Il est donc allé la chercher, cette image, en Allemagne, à 600 kilomètres du Loiret. Il y a deux ans, il a racheté l’entreprise d’un


concurrent, Bühler Würz. _"Le "made in Germany" n’est pas forcément mieux que le "made in France",_ explique son codirecteur à Pforzheim (Allemagne). _Par contre, il


y a une image autour qui est nettement plus positive"._  Et permet donc de vendre mieux et plus cher… Fabriquer ici les laminoirs, l’autre activité du groupe, coûte 20 % de moins qu’en


France. Autre avantage pour les dirigeants : la flexibilité des salariés, grâce au compteur temps. La fiche de paye symbolise les différences entre les deux pays : 5 lignes seulement côté


allemand. Un modèle qui ne fait pas forcément rêver tout le monde… du moins en termes d’acquis sociaux. Quant au pacte de responsabilité proposé par F. Hollande, le Pdg de Redex le trouve


encore trop flou pour espérer créer des emplois. Partager : l’article sur les réseaux sociaux * Partagez sur twitter (nouvel onglet) (Nouvelle fenêtre) * Partagez sur whatsApp (nouvel


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