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l'essentiel Plusieurs athlètes et/ou membres de staffs techniques ont connu des mésaventures au sein du lieu de vie des participants, cible de nombreuses critiques. Que se passe-t-il au
village des Jeux Olympiques de Paris (26 juillet-11 août) ? Après les critiques de plusieurs athlètes et délégations, sur la cantine ou encore sur les problèmes d’accessibilité à certains
sites d’épreuves, le village est désormais le théâtre de vols et "visites" d’appartements. À LIRE AUSSI : JO de Paris 2024 : "Le but, c’est de les échanger !" Au village
olympique, la folie des pin’s chez les athlètes Comme le révèle _Le Parisien-Aujourd’hui en France_, cinq plaintes ont déjà été déposées. La première samedi 27 juillet, concerne un
entraîneur de la sélection australienne de hockey sur gazon. Ce dernier aurait vu sa carte bancaire lui être subtilisée et utilisée de manière frauduleuse. Préjudice présumé : un peu plus de
900 euros. Le vol serait survenu directement dans sa chambre. À LIRE AUSSI : JO de Paris 2024 : l’entraîneur de boxe des Samoa décède à la suite d’un malaise au village olympique Le
logement d’un joueur de l’équipe japonaise de rugby aurait aussi été visité. Une alliance, un collier et de l’argent liquide aurait été volé, pour un préjudice estimé à 3 000 euros. Lui
aussi a déposé plainte, dimanche 28. À LIRE AUSSI : JO de Paris 2024 : "Il faut faire quelque chose !" Pourquoi six nageurs sud-coréens ont quitté le village olympique mécontents
Troublant : aucune trace d’effraction n’a été relevée. Et un paramètre va compliquer la tâche des enquêteurs : il n’y a pas de système de vidéo protection au village. Qui plus est, les
policiers sont autorisés à entrer dans l’enceinte, mais sous conditions seulement. À LIRE AUSSI : JO de Paris 2024 : "Obligés de prendre un autre chef…" Déçue, la Grande-Bretagne
ne va plus se rendre au restaurant du village olympique Lors de chaque JO, des faits de vols mais aussi d’agressions sont recensés. Pour se protéger, les délégations se rendent sur les lieux
accompagnés de leur propre service de sécurité.