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PSG-INTER MILAN : POURQUOI MUNICH REPRÉSENTE UN (TRÈS) BON PRÉSAGE POUR LES PARISIENS LE SCAN SPORT – Tous les clubs sacrés sur le sol bavarois en finale de Ligue des champions l’ont été
pour la première fois de leur histoire, dont les Marseillais, il y a 32 ans. Publicité Jamais quatre sans cinq ? Pour la cinquième fois de l’histoire, la finale de Ligue des champions se
déroulera à Munich. Les trois premières au stade olympique et la quatrième, à l’Allianz Arena, là où le PSG affrontera l’Inter Milan ce samedi (21h, _Canal+_ et _M6_). Point commun des
quatre premières finales en terre bavaroise ? Le vainqueur a soulevé la Coupe aux grandes oreilles pour la première fois de son histoire. Munich, le paradis des néophytes. Tant mieux pour le
Paris-SG, qui court après son premier sacre en C1 tandis que l’Inter visera une quatrième couronne de roi d’Europe. Et ce même si les Rouge et Bleu ont perdu lors de cinq de leurs sept
matchs à Munich, contre le Bayern, dont les deux derniers, en mars 2023 (2-0) et pas plus tard que le 26 novembre dernier (1-0). Pour ce qui est des deux succès parisiens à Munich, il y a eu
la victoire 1-0 en 1994, avec un but magique de George Weah, et la victoire 3-2 sous la neige et dans un stade vide en 2021, avec notamment cette inspiration géniale de Neymar pour
Marquinhos. À JAMAIS LES PREMIERS… MAIS BIENTÔT PLUS LES SEULS ? En ce qui concerne les premiers sacres lors des finales de C1 disputées à Munich, il y a d’abord eu Nottingham Forest en 1979
face aux Suédois de Malmö (1-0), le Borussia Dortmund en 1997, contre la Juventus (3-1), et Chelsea, en 2012, contre le Bayern (1-1 ap, 4-3 tab), qui évoluait à domicile. Et bien sûr
l’Olympique de Marseille, qui avait disposé de l’AC Milan (1-0) en 1993 grâce à un coup de casque de Basile Boli pour offrir au football français sa première «Champions’», et pour l’heure la
seule. À jamais les premiers. Clin d’œil de l’histoire, Marseille et Milan sont les grands rivaux du PSG et de l’Inter. «_On me dit qu’il y a beaucoup de signes qui invitent à penser que
c’est la bonne année pour le PSG_», glisse Ousmane Dembélé, prenant le soin de préciser qu’on «_ne sait pas ce qui peut se passer sur 90 minutes»._ Bien sûr, toutes les séries ont une fin.
Et les Parisiens feraient bien de compter sur d’autres arguments pour décrocher leur première Ligue des champions.