L’attentat de Condé-sur-Sarthe, autopsie d’une radicalisation en prison

L’attentat de Condé-sur-Sarthe, autopsie d’une radicalisation en prison

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L’ATTENTAT DE CONDÉ-SUR-SARTHE, AUTOPSIE D’UNE RADICALISATION EN PRISON


C'est une attaque qui a laissé de profondes séquelles chez les agents de l'administration pénitentiaire. Le 5 mars 2019, Michaël Chiolo, 27 ans à l'époque, et sa compagne,


Hanane Aboulhana, poignardaient par surprise deux agents pénitentiaires dans une unité de vie familiale (UVF) de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne), réputée pour être l'une des plus


sécurisées de France.


Le procès de ce détenu radicalisé en prison, qui risque la réclusion criminelle à perpétuité pour tentative d'assassinat et association de malfaiteurs terroristes, et de quatre de ses


complices présumés – tous détenus – s'ouvre lundi 2 juin devant la cour d'assises spéciale de Paris. Il devrait permettre d'en apprendre davantage sur la gestion des détenus


islamistes radicalisés par l'administration pénitentiaire. Prè...


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