Tottenham-manchester united : van de ven miraculeux, romero piégeux, shaw calamiteux... Les tops/flops de la finale de ligue europa

Tottenham-manchester united : van de ven miraculeux, romero piégeux, shaw calamiteux... Les tops/flops de la finale de ligue europa

Play all audios:

Loading...

TOTTENHAM-MANCHESTER UNITED : VAN DE VEN MIRACULEUX, ROMERO PIÉGEUX, SHAW CALAMITEUX... LES TOPS/FLOPS DE LA FINALE DE LIGUE EUROPA À l’issue de la finale de la Ligue Europa, qui a vu les


Spurs dominer les Red Devils (1-0), découvrez ce qui a plu... et déplu à la rédaction du_ Figaro_. Publicité Sommaire * Van De Ven miraculeux * Guglielmo Vicario courageux * Brennan Johnson


fougueux * Cristian Romero piégeux * Une purge en guise de finale * Luke Shaw calamiteux * Les Red Devils au diable Afficher plus TOPS  VAN DE VEN MIRACULEUX Un grand match de la part du


défenseur central de Tottenham. Durant cette finale, le Néerlandais n’a concédé que trois petites fautes et s’est montré très solide face aux assauts mancuniens. Toujours idéalement placé,


juste techniquement, le joueur de 24 ans a démontré, une nouvelle fois, ses capacités d’anticipation. Au-delà de ses interventions incisives, le Londonien a également sauvé héroïquement son


équipe (68e) - sur une tête de Rasmus Höjlund - en sautant de manière spectaculaire pour dégager le ballon in extremis sur sa ligne. >  GUGLIELMO VICARIO COURAGEUX Impeccable sur sa


ligne. Face à United, le gardien des Spurs a réalisé un sans-faute. L’Italien a réalisé cinq arrêts sur cinq tirs subis avec, également, trois centres captés. Décisif dans les ultimes


secondes sur un coup de tête de Luke Shaw (90e+7), le portier de Tottenham a vaillamment «tenu la baraque». BRENNAN JOHNSON FOUGUEUX Malgré ses 23 ans, l’attaquant gallois, pour sa première


finale de coupe d’Europe, ne s’est pas dégonflé. En jambes et véloce sur ses appuis, l’ailier droit de Tottenham n’a cessé de percuter et d’attaquer l’arrière-garde mancunienne, n’oubliant,


au passage, ses replis défensifs. L’offensif londonien a, également, poussé Luke Shaw au contre-son-camp peu avant la pause (42e). Au mérite. CRISTIAN ROMERO PIÉGEUX Blessé de novembre à


mars, le défenseur des Spurs n’a pas fait dans le détail et a signé son «retour» de la meilleure des façons. Du haut de ses 27 ans, le champion du monde 2022 avec l’Argentine s’est comporté


tel un vieux briscard, usant psychologiquement ses vis-à-vis mancuniens. Très compact dos à son gardien, le joueur de Tottenham a fait parler son expérience et sa rage de vaincre. > 


FLOPS UNE PURGE EN GUISE DE FINALE Une finale qui ne restera clairement pas dans les annales. Dans cette affiche 100 % anglaise entre les deux cancres de Premier League cette saison - Man


United classé 16e et Tottenham 17e - les deux cadors déclassés ont proposé ce qu’ils pouvaient faire de mieux cette année. C’est-à-dire... pas grand-chose. Une quinzaine de fautes en à peine


une mi-temps, pas plus de cinq tirs cadrés après l’heure de jeu, un contre-son-camp ubuesque... Les minutes filaient lentement au tableau d’affichage. Dos au mur, les Red Devils ont tenté


d’enflammer la partie dans les dix dernières minutes. En vain. Sinon, rien. LUKE SHAW CALAMITEUX En termes de prestation désastreuse en finale de coupe d’Europe, l’arrière gauche a fait


(très) fort. Longtemps blessé cette saison (comme d’habitude), l’Anglais - aligné d’entrée de manière surprenante - a été catastrophique de bout en bout. En retard sur chacun de ses


vis-à-vis, maladroit et imprécis techniquement et auteur du contre-son-camp fatal à son équipe (42e), le Mancunien s’est mué en véritable boulet pour les siens, symptomatique de ce


Manchester United qui n’est plus que l’ombre de lui-même. >  LES RED DEVILS AU DIABLE Une saison en enfer. Pas grand-chose à dire de plus. Où et quand s’arrêtera le déclassement sans fin


de ce club mythique ? Plus que miraculé face à l’Olympique Lyonnais en quart de finale de la compétition, United avait une opportunité inouïe de sauver sa misérable saison face à Tottenham


mercredi soir. Mais les hommes de Ruben Amorim ont récolté ce qu’ils méritaient. Fin du rêve pour cette équipe amorphe, qui ne montre quasiment rien, sans véritable fond de jeu. Tout est à


revoir et à refaire. Le Man United d’antan est bien loin...