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Copyright Fotolia L’espérance de vie ne cesse de progresser depuis plusieurs décennies dans les pays occidentaux. Mais qu’en est-il de l’espérance de vie en bonne santé? Force est de
constater que l’allongement de l’espérance de vie est une nouvelle source d’inégalités entre hommes et femmes en matière d’incapacité. LES TRAVAUX DE JEAN-MARIE ROBINE (UNITÉ INSERM 1198 «
MÉCANISMES MOLÉCULAIRES DANS LES DÉMENCES NEURODÉGÉNÉRATIVES») ET DE CLAUDINE BERR (UNITÉ INSERM 1061 « NEUROPSYCHIATRIE : RECHERCHE ÉPIDÉMIOLOGIQUE ET CLINIQUE » DE MONTPELLIER) MONTRENT
QUE, DE 2004 À 2015, L’ESPÉRANCE DE VIE SANS INCAPACITÉ (EVSI) A AUGMENTÉ DE 1,1 AN POUR LES HOMMES, PASSANT DE 61,5 ANS EN 2004 À 62,6 ANS EN 2015. POUR LES FEMMES, L’EVSI A QUASIMENT
STAGNÉ POUR CETTE PÉRIODE, PASSANT DE 64,2 ANS EN 2004 À 64,4 EN 2015. Telles sont les conclusions d’une étude parue dans le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publié le 11
juillet qui s’appuient sur les travaux de chercheurs Inserm sur le vieillissement. Mobilisés sur le sujet, les chercheurs Inserm sont disponibles pour répondre à vos questions. Lire
l’intégralité du BEH n°16-17. CES CONTENUS POURRAIENT AUSSI VOUS INTÉRESSER :